Cet ouvrage s’intéresse à la multiplication formidable des formations aux métiers de la culture, qui désigne généralement "l’ensemble des fonctions concourant à la conservation et à la transmission des œuvres du passé, à la production et à la mise en culture d’œuvres contemporaines".
Leur définition concrète se heurte néanmoins au fait que les activités sont placées à l’intersection de plusieurs secteurs dont les dynamiques peuvent être contradictoires. Plus précisément, "la malédiction des métiers de la culture tient au fait qu’ils se trouvent par nature placés à l’intersection de l’art, de la culture et de la société : l’art, qu’ils ont pour mission de mettre en culture, la culture qu’ils ont pour mission de mettre en société" .
L'ouvrage traite de trois thématiques essentielles : la nécessité et la difficulté de former des professionnels de la culture ; l’impact des transformations du secteur culturel sur les universités ; enfin, les relations entre gouvernance des universités (et le passage au format L-M-D) et la formation.
Pour en savoir plus un article de Florent Parmentier sur le site non.fiction.fr